Drone Records
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MAREGIANO, ANNE - CHARLEMAGNE PALESTINE, THE GOLDEN SOUND

Format: DVD
Label & Cat.Number: RE:VOIR / Atopic
Release Year: 2013
Note: 70 mins documentary from 2011 about the ever amazing trance-performer, feat. interview material & un-edited recordings of his performances, plus a bonus film from 1975 and a 40 page book; english with french subtitles
Price (incl. 19% VAT): €23.00


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"Born in New York City, composer, performer, and visual artist Charlemagne Palestine was a contemporary of Steve Reich and Phillip Glass in the avantgarde classical music scene of the 1960s and 1970s. On stages filled with his own home-made stuffed animals, Palestine performs his trance-like strumming music. He is often referred to as a minimal composer, but rejects that in favour of maximalism. Anne Maregiano's documentary about Palestine, The Golden Sound (2011), allows the artist to tell his own story while putting his music and performance, in long, unedited takes, at the centre of the film' - Michael Garrad, (Close Up) Bonus Films: 'The Red Suitcase' by Anne Maregiano (2011). 'Body Music 'by Charlemagne Palestine (1975). 'Charlemagne 2 : Piltzer' by Pip Chodorov (2002). 'Sound Recording: March 7, 1975' by Charlemagne Palestine. Book (44 pages) with texts written by Ingram Marshall, Roland Spekle, Pip Chodorov and Anne Maregiano. Photos by Kathleen Agnoli, Elaine Hartnett, James Lapine, Charlemagne Palestine. English with French subtitles." [label info]


"Il est 19h30 au Louvre le 6 mars 2001. Charlemagne Palestine descend les marches du grand auditorium avec sa valise en toile rouge. Il porte un grand chapeau Weston, plusieurs écharpes bariolées, un pantalon orange et des chaussures rouges. Il pose sa valise devant le majestueux piano Bösendorfer et en sort une grenouille, un petit singe, un ours, un perroquet… quelques peluches rescapées des poubelles de l’histoire. Charlemagne débute son concert devant une salle pleine. Il ne faut pas plus de cinq minutes de Strumming Music pour qu’un spectateur se lève et crie au scandale. Le concert s’interrompt, Charlemagne lui suggère de quitter la salle. Après un échange musclé, l’homme à lunettes se rassoit. A la fin du concert, je revois la même personne félicitant Charlemagne de sa performance. Que s’est-il passé ? Qu’est-ce qu’il lui a fait changer d’avis : l’origine ukrainienne de l’artiste, son appartenance à l’avant-garde new-yorkaise au début des années 70 (Tony Conrad, La Monte Young, John Cale, Taylor Mead, Terry Riley...), son expérimentation électro-acoustique à Los Angeles (Morton Subotnick, Ingram Marshall), son art vidéo (Nam June Paik), ses accointances avec le cinéma expérimental (Stan Brakkage) ou son exil vers l’Europe. Le film vient de commencer… » Sous la forme d’une confession intime et sur fond d’archives d’époque (vidéos, photos et musiques inédites), Charlemagne nous livre sa quête de « l’or sonore". [Anne Maregiano]